Rockstar Games ne lâche rien. Face aux accusations portées par une trentaine d’anciens employés — qui affirment avoir été licenciés pour avoir voulu se syndiquer — la firme étoilée campe fermement sur sa position.
Selon Rockstar, ces renvois n’ont rien à voir avec une quelconque activité syndicale. Dans un communiqué transmis à IGN, le studio affirme que les personnes concernées auraient divulgué des informations confidentielles, notamment des détails sensibles liés au prochain Grand Theft Auto ainsi qu’à des projets encore non annoncés.
Rockstar précise que ces fuites concernaient des fonctionnalités spécifiques de jeux à venir, en violation directe du règlement interne et des obligations légales des employés. Le studio dément donc catégoriquement toute motivation antisyndicale.
« Rockstar Games a pris des mesures disciplinaires à l’encontre d’un petit groupe d’individus, au Royaume-Uni et à l’international, ayant diffusé publiquement des informations confidentielles. Les accusations liant ces licenciements à des activités syndicales sont totalement infondées et trompeuses. »
Une ligne de défense claire et assumée… alors que l’enquête autour de cette affaire sensible se poursuit.